COPROPRIETE :
E.D.D. Etat descriptif de division
Nous
consulter pour projet de découpage.
Notions & calcul
Le
calcul des tantièmes : Méthodes et definitions
OBJET ET METHODE DE CALCUL
3.1 : Définition :
Base légale : art. 1, 5, 6-1, 10, 11, 30 Loi 10 juillet 1965
Le copropriétaire possède une
quote-part (ou parts) de la copropriété. Cette quote-part est exprimée en
tantièmes (un certain nombre, qui rapporté au total de toutes les parts, peut
être exprimé en pourcentage). La plupart du temps, les copropriétés sont
divisées en millièmes de parts, d'où l'appellation courante des millièmes, qui
sont de fait des tantièmes exprimés sous forme de mille. La détermination du
nombre de tantièmes est libre : ici la base 1000 est retenue.
Le présent
règlement est établi conformément aux textes en vigueur et a pour
finalité :
- d’établir le
descriptif de la division de l’ensemble immobilier,
-de fixer les
droits et obligations des copropriétaires,
- d’aider à
l’organisation de l’administration de l’ensemble immobilier,
3.2 : Détermination des parties privatives et
communes :
3.2.1 : DÉFINITION DES PARTIES PRIVATIVES
Sont privatives les parties du
bâtiment et des terrains réservés à l’usage exclusif d’un copropriétaire. Il en
est de même des accessoires desdits locaux ou terrains.
Tous les éléments d'équipement à usage privatif inclus à
l'intérieur des locaux tels qu’indiqué ci-dessous à titre non limitatif :
Les
sols : les sols scellés ou collés de type carrelages, dalles
de sol, revêtements de type moquettes ou dérivé, tous type de parquets et en
général tous revêtements de sol,
Les
plafonds : les plafonds faux plafonds et les planchers à
l’exception de leur support structurel tel que gros œuvres : sont aussi
exclus les parties situées dans les communs).
Les
cloisons & portes : les
cloisons intérieures et les portes (à
l'exclusion des murs porteurs : refend et diverses structures…), les
portes (compris les portes palières), les fenêtres, les portes-fenêtres, les
volets d’occultation de type persiennes
ou stores ou VR, les appuis des fenêtres avec leurs chambranles, leurs châssis,
les divers accessoires…
Les
revêtements de finition intérieure tel que : les enduits et revêtements
intérieurs des murs et cloisons, les revêtements de type peintures - papiers peints et revêtement de finition
murale,
Les
canalisations et équipements apparents
: les canalisations intérieures, les appareillages tels que les robinetteries
et accessoires, les branchements et raccordements particuliers propre au seul
et même local privatif (si les canalisations sont noyées ou enchâssées dans des
parois horizontales ou verticales constituant des parties communes alors ces
éléments sont assimilables au communs et sont exclus du lot privatif). Les
propriétaires des lots privatifs devront supporter l'existence de toutes
canalisations ou gaines ou coffres existants, qu'elles qu'en soient la nature
et la destination, qui se trouveraient dans leurs locaux.
VMC
et renouvellement d’air vicié :
les entrées d'air frais, les bouches d’extraction de ventilation propre à un
seul et même lot, les bouches d'aération de la V.M.C. (ventilation mécanique contrôlée) situées
à l'intérieur des lots privatifs et spécifiques à chaque logement, à
l'exclusion des gaines, tuyaux, conduits, caissons, gaines techniques,
extracteurs et tourelles (compris tourelles aéroréfrigérés) de la V.M.C. qui font parties
communes générales ou spéciales suivant les cas.
Sanitaires,
chauffage, ECS& équipement :
les installations sanitaires,
compris les accessoires des
salles de bains, salles d’eau, des WC,
les installations de chauffage individuelles et de distribution d'eau
chaude desservant le seul lot privatif ; les sonneries, portier
électronique ou vidéo (installation intérieure au logement hors câblage) ;
les installations intérieures
électriques (prises, inter…) ; la téléphonie et dérivés de communication ; les branchements de la télévision jusqu'à
leur raccordement aux colonnes communes du bâtiment ; les installations spécifiques tel que des
cuisines (éviers, meubles et appareils et équipements ménagers…) ; les conduits d'évacuation des eaux usées
depuis les appareils jusqu’au raccordement à
la chute ou gaine technique (sauf s’il sont enchâssés dans une structure
commune) ; les placards ouverts ou fermés
fixe (autre à considérer en mobilier et à exclure) les encadrements et dessus de cheminée ; les
installations de cuisines, les vide-ordures particuliers…
Les
balcons et terrasses à usage privatif
(sauf le gros œuvre)…
Jardin,
cours à usage privatif ou jouissance exclusive …: seule la surface extérieure de la partie de lot et considérée à usage
du lot (toute modification visuelle de cette espace : démolition,
construction, reprofillage du terrain implique un accord des copropriétaires).
Mitoyenneté : gros œuvre (structure et
superstructure appartiendront en mitoyenneté aux propriétaires des lots.
Les cloisons légères séparatives type SAD (ou
équivalentes) et autres ouvrages de type
clôtures séparant deux lots privatifs contigus et appartenant à des
propriétaires différents (hors gros œuvre, structure et superstructure..) sont
considéré en mitoyenneté.
Séparation
du lot privatif et commun : sont
considérés appartenir aux communs tous éléments constructifs de séparation
entre privatif et communs.
Gaines
techniques intérieure ou contiguë au lot : jusqu'à l’épiderme externe la gaine
technique appartient aux communs.
3.2.2 : PARTIES COMMUNES
DÉFINITION DES
PARTIES COMMUNES
3.2.2.1 : Parties communes :
Les parties communes sont celles qui
ne sont pas affectées à l’usage exclusif d’un copropriétaire, mais à l’usage et
à l’utilité de tous les copropriétaires ou de plusieurs d’entre eux.
Les parties communes appartenant à
l'ensemble de tous les copropriétaires sont qualifiées de «parties communes
générales» (voir tableau de répartition de tantièmes joint dans ce présent
rapport). Les parties communes appartenant à certains d'entre eux seulement
sont qualifiées de «parties communes spéciales ou particulières».
Les parties communes générales et
spéciales se répartiront entre les copropriétaires selon les quotités indiquées
pour chaque lot à l'état descriptif de division (voir tableau de répartition de
tantièmes joint dans ce présent rapport).
Sont réputées parties communes :
– la totalité du sol, les cours,
les parcs et jardins, les voies d’accès ; le gros œuvre des bâtiments y
compris le gros œuvre des planchers ; le toit, les toits terrasses
; les escaliers et ascenseurs ; les coffres, gaines et têtes de
cheminée ; les locaux des services communs, tels que la loge du concierge
ou du gardien, le local à poubelles et à vélos, le local de la chaufferie
; les passages et corridors ; les éléments d’équipement communs en
général tels que l’ascenseur, le chauffage central ; les canalisations y
afférentes qui traversent des locaux privatifs.
Sont présumées accessoires aux parties
communes :
– le droit de surélever un
bâtiment affecté à l’usage commun ou comportant plusieurs locaux constituant
des parties privatives différentes et d’en affouiller le sol ; le droit
d’élever des bâtiments nouveaux dans les cours, parcs ou jardins constituant
des parties communes ; le droit d’affouiller de tels cours, parcs ou
jardins ;
– le droit de mitoyenneté
afférent aux parties communes.
Nota : Les cloisons qui séparent les locaux
privatifs des parties communes ainsi que les murs de refend et gros porteurs,
même dans leurs parties traversant des locaux privatifs, font parties des
choses communes générales ou spéciales selon le cas.
3.2.2.2 : Parties
communes générales.
Détermination des tantièmes de charges générales.
L'art. 10 al 2 de la loi de 1965 prévoit que la répartition de ces charges
doit être établie en fonction, soit des tantièmes de copropriété, soit des modalités
prévues à l'art. 5 Loi 1965 (dans le cas - rare - où les
tantièmes de copropriété ne seraient pas calculés en fonction de cet article,
mais selon un autre critère ; il serait alors nécessaire que le règlement
détaille les deux répartitions). Ce principe est rappelé par la Cour de Cassation : Cass. civ. 19/11/1986 - Bull. cass. n° 163 "chaque
copropriétaire est tenu de participer aux charges relatives à la conservation,
à l'entretien et à l'administration des parties communes proportionnellement
aux valeurs relatives des parties privatives comprises dans son lot telles que
ces valeurs résultent de la consistance, de la superficie et de la situation de
celui-ci".
Définition de la charge commune générale :
Et en général, les accessoires des parties communes ci-dessous
définies, leurs portes, leurs parties vitrées ou mobiles, leurs cloisons, coffres
et gaines, leurs équipements et
appareillages (installations mécaniques, électriques, d'éclairage,
etc.), leurs aménagements, décorations, glaces, revêtements, moquettes,
paillassons (non compris s'il y a lieu, les tapis-brosses sur les paliers
d'étages s'ils sont fournis par chaque copropriétaire), les objets mobiliers,
outillage, ustensiles et fournitures en conséquence.
Cette énumération est
purement énonciative et non limitative. Les parties communes font l'objet d'une
propriété indivise entre l'ensemble des copropriétaires.
Les « parties communes générales » sont celles qui sont affectées
à l'usage ou à l'utilité de tous les copropriétaires et comprennent (liste non
restrictive) :
- la totalité du gros œuvre des constructions
édifiées à l'intérieur du volume constituant l'assiette de la présente
copropriété,
- les abords des constructions, les
clôtures, espaces verts en tant qu'elles
dépendent de la copropriété et, éventuellement, les mitoyennetés avec des
immeubles voisins…
- les fondations…
- les éléments porteurs assurant la stabilité ou
la solidité du bâtiment, poutres, piliers, voiles et poteaux de soutien et
d'une façon générale, les éléments constructifs horizontaux et verticaux de
structure…
- les couvertures, toitures et terrasses du
bâtiment…
- les balustrades, garde-corps, main courantes,
parapets des fenêtres…
- les façades, façades rideau, et les murs
extérieurs du bâtiment avec leurs parements, les revêtements, les panneaux de
parement extérieurs de différents type (décoratif ou isolants), éléments
décoratifs de toutes natures (à l'exclusion des
fenêtres, portes et s'il y a lieu volets ou stores des locaux
privatifs),
- les planchers du bâtiment, à l'exclusion des
revêtements des sols et des plafonds des
parties privatives,
- les murs intérieurs et cloisons du bâtiment,
sauf celles constituant des parties privatives aux termes du présent règlement
de copropriété
- les éclairages de communs, fenêtres ou châssis
éclairant les escaliers, couloirs ou autres, aires d ‘évolutions (parties
communes spéciales au bâtiment (à l'exclusion de ceux éclairant les locaux
privatifs)…
- les portes ou trappes de visite donnant accès
aux circulations, dégagements, (locaux techniques divers, constituant des
parties communes)…
- les conduits, caissons, coffres, gaines,
canalisations, tuyauteries, prises d'air, ventilations, réseaux de toutes
natures (avec leurs coffres, gaines et accessoires affectés au seul usage ou à
la seule utilité de tous les copropriétaires du bâtiment ou de plusieurs
d'entre eux, depuis les branchements ou les raccordements sur les canalisations
publiques ou sur les réseaux généraux de la copropriété (même si le
raccordement ce fait dans un lot privatif)…
- les éléments affectés à l'usage ou à l'utilité
de tous les copropriétaires du bâtiment ou de plusieurs d'entre eux, tels que :
- l'installation de ventilation mécanique
contrôlée (extracteurs, groupes et gaines) du bâtiment avec ses accessoires,
- l'installation de récupération des ordures
ménagères du bâtiment avec ses accessoires et son local,
- l'installation de « portier électronique ou
vidéo » depuis la porte d'entrée du bâtiment jusqu'à et non compris les postes
installés dans les locaux privatifs. Et en général, les éléments, installations,
appareils de toutes natures et leurs accessoires, exclusivement affectés à
l'usage ou à l'utilité de l'ensemble ou de plusieurs des copropriétaires du
bâtiment…
- les locaux ou emplacements techniques abritant
les éléments d'équipement communs ci-dessus définis, les locaux affectés au
service particulier du bâtiment…
- le hall d'entrée du bâtiment, avec ses
aménagements, sa décoration et ses portes…
- les couloirs, circulations et dégagements
intérieurs assurant la desserte des différents locaux privatifs (compris dans
des lots différents) ou communs composant le bâtiment….
- l'escalier desservant, à partir du
rez-de-chaussée, les différents étages du bâtiment…
- les branchements, canalisations des réseaux
qui seraient affectés à l'usage ou à l'utilité de toutes les constructions
composant l'ensemble immobilier…
- l'installation câblée de télévision avec ses
accessoires, ses câbles de distribution (mais non compris les prises installées
dans les locaux privatifs), qui desservira l'ensemble du bâtiment ; l'éventuelle
antenne collective de télévision avec ses accessoires, ses câbles de
distribution (mais non compris les prises installées dans les locaux
privatifs), qui desservira l'ensemble des bâtiments.
- les jardins, espaces verts ou libres, avec
leurs aménagements, plantations, éléments de décoration ou d'équipements,
3.2.2.3 : Parties
communes spéciales ou particulières.
Les parties communes spéciales sont dues seulement par des parties
des lots privatifs.
En cas de division d'un lot comprenant à l'origine un local ou un
ensemble de locaux, les parties de ces locaux et leurs éléments d'équipement
qui seront affectés à l'usage ou à l'utilité des propriétaires des différents
lots issus de la division constitueront des parties communes spéciales qui
seront l'objet d'une propriété indivise et particulière entre les propriétaires
des lots issus de la division au prorata des quotes-parts dans les parties
communes générales attachées à ces lots.
Parties communes
spéciales à certains lots .
Par dérogation à la définition qui précède, la partie de couloir,
dégagement ou escalier qui distribue exclusivement des locaux privatifs est une
partie commune spéciale des copropriétaires de ces locaux.
Tant que cette partie de couloir, dégagement ou escalier restera
accessible à tous les copropriétaires, elle sera entretenue comme une partie
commune générale et sera soumise aux
même règles d'utilisation et de décisions. Dans le cas où les lots, composés de
tout les locaux donnant sur un couloir, dégagement ou escalier, appartiendraient
à un seul copropriétaire, celui-ci aurait le droit défaire installer une porte
ou une séparation en tête de ce couloir, dégagement ou escalier, sous réserve
que cette dernière ait le même aspect que les autres portes ou séparations de
même nature et sous réserve du respect des règlements administratifs, de
sécurité ou autres.
Préalablement à toute cession séparée de lots dont les locaux
auront donné lieu à l'installation d'une porte ou séparation comme indiqué à
l'alinéa précédent, le propriétaire devra rétablir dans son état primitif le
couloir, dégagement ou escalier et, si besoin est, refaire à ses frais la
peinture ou les revêtements de l'ensemble du couloir, dégagement ou escalier,
de façon à restituer à celui-ci une présentation homogène. Les travaux visés
aux alinéas précédant ne sont pas soumis à l'autorisation de copropriétaires ou
d'assemblée de copropriétaires. Le syndic devra en être informé un mois avant
leur réalisation. Ces travaux devront être réalisés sous le contrôle du syndic
ou de l'architecte de l'immeuble si besoin est.
3.3 : METHODE DE CALCUL DES COEFFICIENTS
PONDERATEURS
3.3.1 Détermination des tantièmes de copropriété
(déterminant les droits et obligations).
(appliqués, sauf cas particuliers, aux charges de
conservation, entretien et administration de l'immeuble
- Cass. civ.
19/11/1986 - Bull. cass. n° 163). L'art. 5 de la loi
de 1965 laisse toute latitude au rédacteurs du
règlement de copropriété pour répartir les tantièmes à leur convenance ; en
effet, la référence à "la
consistance, la superficie et la situation des lots" laisse aux
rédacteurs une grande marge de manœuvre.
Loi SRU Article 76
L'article 10 de la loi n° 65-557 du 10 juillet
1965 précitée est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Tout
règlement de copropriété publié à compter du 31 décembre 2002 indique les
éléments pris en considération et la méthode de calcul permettant de fixer les
quotes-parts de parties communes et la répartition des charges. »
La consistance Cette
notion recouvre les aménagements intérieurs (logement, bureau, atelier,
cave...), la qualité des matériaux et le degré de confort (balcon,
Ascenseur...).
La situation Sont
désignés l'étage (éclairement), l'orientation (ensoleillement), le côté (rue,
cour, jardin : l'estimation porte sur le niveau de bruit, la vue.
La superficie La
loi Carrez n'étant pas obligatoire pour ce calcul, l'estimation peut se faire
sur plans selon les dimensions externes et sans tenir compte des cloisons
intérieures (qui sont de toute manière susceptibles d’être modifiée) : dans le cas de l’existence
de la loi Carrez, celle-ci sera prise comme base de calcul.
3.3.2 Détermination des tantièmes de charges
d'équipement et de services.
L'art. 10 al 1
de la loi de 1965 prévoit que la répartition doit être établie en fonction de
l'utilité que les services représentent pour chaque lot. L'appréciation
est là aussi laissée à l'expert, bien que pour certains points le calcul soit
homogène (exemple : l'utilité potentielle d'une antenne collective est
identique pour chaque appartement).
3.3.3 Détermination des tantièmes de charges de
travaux d'amélioration.
L'art. 30
de la loi de 1965 prévoit que les frais engendrés par des travaux
d'amélioration sont répartis en fonction de l'avantage qu'ils procurent
à chaque lot. L'appréciation de cet avantage est là encore laissée à la libre
appréciation des experts.
3.3.4 Détermination des tantièmes des charges
d'ascenseur
Faute d'existence d'une base légale, ce sont des
critères usuels qui prévalent.
3.3.5 Charges générales C.G.
Base légale : réparation du sol,
gardiennage, entretien, parties communes générales, espaces verts…
3.3.6 Charges particulières C.P.
Base légale : chauffage collectif, ASC,
parties communes particulières, ordures ménagères, vide ordures
3.3.7 Méthode de calcul du coefficient
Nature
des informations à fournir. Fixation des
quotes-parts de parties communes et de la répartition des charges. Description des lots :C'est l'ensemble
des parties
privatives de l'immeuble collectif
(seule la surface habitable ou Carrez est conservée dans le calcul des surfaces
pondérées). Différentes surfaces
habitables n'ont pas la même importance dans un même lot, ainsi applique-t-on un
coefficient de pondération. La
différentiation d'une surface intérieure (une pièce) d'une surface extérieure
(une terrasse). Le choix des
coefficients est laissé à la libre appréciation du rédacteur. Toutefois,
ceux-ci restent le plus souvent dans les intervalles indiqués dans le tableau
ci-dessous, suivant la nature du local. Base de calcul : la surface
habitable concerne toutes les surfaces du plancher de plus de 1,80 m de hauteur sous plafond. Dans le cas des V.E.F.A., les surfaces seront
calculées au bureau à partir des plans d'architecte et des cotes jointes. Dans
le cas de division de bâtiments existants, elles sont calculées à partir des
mesures relevées (lots mesurés par la loi Carrez ou méthode Shon Shob suivant
les cas).
|